5 / Malachi Farrell

Malachi Farrell, Artist
Behind the scenes of the movement #5
Malachi Farrell : Ce sont des questions sur la guerre, chaque guerre a son histoire. Je pense que l’histoire on ne peux pas l’effacer. Je scénarise un peu l’horreur, comme une matière, surtout que nous sommes de plus en plus chargés par l’histoire. J’utilise des événements, c’est un ancien mot, mais que l’on appel «la mémoire collective». Ca veux dire que même si c’est quelque chose de récent ça a percuté, ça a dilué, ça a eu plus qu’un impact populaire, ça marque ça devient ensuite comme des voix, qui deviennent comme nos échos et pour moi je vois ça encore comme une matière, pas ce coté fantôme. Toutes ces questions, que l’on se sente concerné ou pas, nous sommes dedans même si l’on dit «non je n’ai rien à voir avec cela», mais en fait nous sommes tous dans cette histoire personne n’est vraiment en dehors !

 

Malachi Farrell : Those are questions about the war, each was has its history. And I don’t think history can be erased. I stage horror, just like a matter and history is getting heavier and heavier. I use events, it’s an old word but it’s called “collective memory”. It means that even if it’s recent, it hit, it’s been diluted, it got more then a popular impact, it leaves its mark, it becomes kind of voices which become kind of like our echoes. And I see it as a matter, not this ghostly side. All those questions, whether you feel implicated or not, we all are in it even if we say “I’ve got nothing to do with this”, but we’re actually all part of it nobody’s outside of it!

 

Directed : Amine Bouziane
Original concept : Stéphane Chatry
Traduction : Marion Bouvet
Partners : ViewOn and Stuff Productions